Trois questions sur les élections professionnelles du 6 décembre 2018

Cette date est-elle certaine et pourquoi seulement deux ans après les dernières élections de 2016 ?

La date du 6 décembre a été confirmée lors de la réunion du groupe de travail réuni par l’État du 5 septembre 2017 consacré à l’agenda social 2017-2018.
En 2018 ce sont les trois fonctions publiques qui vont élire leurs représentants comme tous les 4 ans, les dernières élections ayant eu lieu en 2014.
Les élections intermédiaires de 2016 ont été rendus nécessaires par l’institution de la métropole.

Quelles sont les nouveautés par rapport aux dernières élections de 2016 ?

Deux innovations importantes marqueront ces élections :

  • Pour toutes les instances les listes de candidat-es doivent être « composées d’un nombre de femmes et d’hommes correspondant à la part de femmes et d’hommes
    représentés au sein de l’instance concernée ».
  • Les agents contractuels de droit public pourront voter pour élire leurs représentants à une commission consultative paritaire compétente pour les questions concernant leur statut.

 

Des raisons de voter FSU-Territoriale le 6 décembre ?

La FSU-Territoriale est indépendante de toutes organisations politiques, sans toutefois être neutre dans les débats qui animent la société. Elle a déjà fait la preuve de sa détermination dans la défense des salaires, des services publics et des retraites, tout en participant activement aux mobilisations sur les grandes questions de société portant sur la justice sociale, l’égalité d’accès aux droits, les libertés démocratiques, et en prenant régulièrement des initiatives pour réaliser l’unité syndicale.

Nous portons :

  • Un syndicalisme de défense des intérêts collectifs et individuels des agents, des retraités, des chômeurs et des précaires.
  • Un syndicalisme de solidarité qui lutte et agit en faveur des plus démunis
  • Un syndicalisme unitaire avec les autres organisations syndicales pour démultiplier l’efficacité revendicative en faveur des services publics, des agents et de la population.
  • Un syndicalisme démocratique et participatif tant vis-à-vis des adhérents que des salariés
  • Un syndicalisme sans connivence avec nos élus employeurs